Citas

"¡Maintenant, oui, nous pouvons parler de patrie, avoir un concept véritable de la patrie, parce que quand nous disons : nous défendons la patrie et nous sommes prêts à mourir pour elle, nous parlons d’une patrie qui appartient, non à quelques-uns, mais à tous les Cubains!"
Renvoi au texte original: Discours pour la Fête du travail, sur la Place civile, 1er mars 1961
« La force de cette Révolution, de cette armée révolutionnaire s’est édifiée sur le sacrifice de nombreux compagnons, sur les vies de ceux qui sont tombés en défendant cette cause. C’est grâce à ces hommes courageux qui se sont sacrifiés, à ceux qui ont été prêts à se sacrifier, à ceux qui, qu’ils soient morts ou non, ont lutté résolument, que nous avons pu créer cette force qui défend aujourd’hui la patrie, qui constitue le bouclier de la Révolution, le bouclier de la classe ouvrière, le bouclier de nos paysans, le bouclier de nos droits, le bouclier de nos conquêtes. »
Révolution,
Renvoi au texte original: Discours à la remise de diplômes aux Instructeurs révolutionnaires Osvaldo Sánchez (La Havane), 20 septembre 1961

“Les peuples pensent très différemment, les peuples pensent que la seule chose incompatible avec les destinées de l’Amérique latine, c’est la misère, l’exploitation féodale, l’analphabétisme, les salaires de famine, le chômage, la politique de répression contre les masses ouvrières, paysannes et étudiantes, la discrimination de la femme, du Noir, de l’Indien, du métis, l’oppression des oligarchies, le pillage de leurs richesses par les monopoles yankees, l’asphyxie morale de leurs intellectuels et de leurs artistes, la ruine de leurs petits producteurs victimes de la concurrence étrangère, le sous-développement économique, les villages sans chemins, sans hôpitaux, sans logements, sans écoles, sans industries, la soumission à l’impérialisme, la renonciation à la souveraineté nationale et la trahison de la patrie”.

Renvoi au texte original: Discours à la Deuxième Assemblée Générale Nationale du Peuple de Cuba, Place de la Révolution, le 4 février 1962

“Si, derrière la patrie souveraine, si, derrière le drapeau libre, si, derrière la Révolution rédemptrice, il n’y avait pas un peuple résolu et héroïque comme celui-ci. Sans lui, la patrie ne serait pas libre, le drapeau ne serait pas souverain, la Révolution ne marcherait pas de l’avant avec cette fermeté si inébranlable!”

Renvoi au texte original: Discurso en la segunda asamblea nacional del pueblo de Cuba, celebrada en la Plaza de la Revolución

« Cuba ne serait pas où elle est, notre patrie n’occuperait pas la place qu’elle occupe dans le cœur des autres peuples du monde si, derrière la patrie, derrière le drapeau souverain de la patrie, derrière la Révolution, il n’y avait pas le peuple ! Si, derrière cette Révolution, il n’y avait pas le peuple ! »

Renvoi au texte original: DISCOURS DE FIDEL CASTRO RUZ À LA DEUXIÈME ASSEMBLÉE GÉNÉRALE NATIONALE DU PEUPLE DE CUBA, PLACE DE LA RÉVOLUTION

"Et nous pouvons affirmer sereinement – sereinement ! – que nous sommes prêts à mourir à nos postes. Ce que nous ne savons pas en revanche, c’est si les membres du gouvernement étasunien, si les généraux du Pentagone, si ces sénateurs va-t-en-guerre contre notre patrie sont prêts à mourir à leur tour !"

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la Clôture du Troisième Congrès National des Conseils Municipaux d’éducation, au Théâtre Chaplin, La Havane, 10 septembre 1962
Dans notre pays, notre conception est la suivante: tous les jeunes doivent être prêts à diriger la patrie, à défendre la patrie. Tous les jeunes, en tant que premier devoir, doivent apprendre à lire et à écrire, doivent acquérir une conscience révolutionnaire.
Renvoi au texte original: À l’inauguration du Centre national de la Jeunesse révolutionnaire démocratique d’Afrique (JRDA), en République de Guinée, 6 mai 1972.